Fete au jardin

La nuit était fraiche mais pas glaciale. L'herbe sentait agréablement, et des milliers d'étoiles donnaient au jardin un air de fête. Par terre, quelques lucioles tentaient de rivaliser avec leurs soeurs célestes et donnaient l'impression d'une immensité bienveillante.

Une chouette hulula qui fit sursauter Rubella. Elle croisa les bras sur sa poitrine et écouta les bruits de la nuit.

Nombre de messages : 18 Date d'inscription : 04/09/2006

Lorenzor suivait toujours Rubella, il passa doucement ses bras autour de la taille de la femme, lentement pour ne pas lui faire peur. L'homme posa sa tête sur l'épaule de la dame.

-Avez-vous froid dame Rubella?

Lui demanda doucement l'homme.

- Je n'ai pas froid, Messire, grâce à vous. Je suis juste un peu fatiguée

Disant cela, elle se laissa aller contre le corps réconfortant qui se tenait derrière elle, et ferma les yeux

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Lorenzor serra un peu plus la femme contre lui, approchant doucement son visage du cou de Rubella, y frottant doucement son nez. Après quelque seconde, il caressa doucement la peau du cou de la dame de ses lèvres, doucement, tendrement.....Sérrant Rubella contre lui, pas trop fort, pour ne pas lui faire mal, caressant doucement les bras de la femme blottie contre lui.

Rubella frissonna délicieusement à ces délicats atouchements. Elle se laissa faire, elle était en paix et appréciait les émotions que commençaient à lui renvoyer ses sens.

hmmmmm ...

Elle s'endormirait bien sur place !

Elle se tourna alors vers le bel homme qui lui était encor inconnu quelques instants auparavent

Je ne tiens plus debout, et vous non plus. Je vous remercie de m'avoir fait vivre une soirée dont je croyais l'existence perdue à jamais. J'ai aussi la faible habitude de récompenser ceux qui me rendent heureuse.

Elle tourna la tête, et posa ses lèvres sur celles de Lorenzor. Elles avaient si bon goût qu'elle prolongea un peu le baiser, mais elle finit par se détacher de lui, écartant les bras que l'enlaçaient, et se retournant :

Adieu Lorenzor, je réside à Pontarlier.

Puis elle partit résolument vers sa chambre où elle se déshabilla, se coucha, et s'endormit aussitôt.

[post édité]

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Lorenzor regarda Rubella partir avec regret, se jurant d'aller a Portalier pour revoir cette dame qui, le temps d'une soirée, avait fait battre son coeur et fait rêvé. L'homme repartit, se moquant du froid et de la fatiguer, retournant chez lui, malgrès l'heure tardive. Mais se ravisa, si il restait, il pourait voir sa dame...Il réfléchit donc un instant, avant de se dirigé vers un arbre, et se couché au pied de selui si, utilisant son veston comme couverture.

L'homme se leva le lendemain, laissant son veston sur le sol, allant cherché son sac de voyage dans l'écurie avec son cheval, il revetit sa cote de maile par dessus sa chemise, mit sa cape et r'attacha ses armes a sa ceinture, puis se dit qu'il serait sauvage de partir sans dire un au revoir au gens qu'il connaissait.